Je sais que je parle souvent de traumatisme à tort et à travers, "tel truc m'a traumatisée hahaha" etc... Mais là, on parle d'un véritable traumatisme. Cette série m'a réellement marquée, elle m'a fait enchaîner insomnie et cauchemars sur cauchemars. Ça fait d'ailleurs un moment que je l'ai vue (juillet 2018, il me semble) mais ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai le courage d'exorciser ma peur.

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Bon, il était temps que je fasse une publication en rapport avec la saison. Après tout, qui dit fêtes de fin d'année dit ?

Non, pas "indigestion"... Enfin si. Mais je m'attendais un truc plus classique, comme "Père Noël", par exemple.

Bref, voilà de quoi combler les amateurs d'humour gras et de critique sociétale (ouais, on aime bien ça ici). Oldelaf est un as dans l'art de faire ce à quoi on ne s'attend pas, que ce soit avec "Le café" où il décrivait la lente descente aux enfers d'un drogué à la caféine ou dans "Bérénice" où il met en garde contre le voile rose que peut nous poser l'amour devant les yeux, car évidemment, personne n'est parfait.

Bonne écoute !

Bwarf. Sur une échelle de 1 à 10, je dirais qu'on est sur une suite en direct VHS de niveau 6. Tout n'est pas à jeter.

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Le dernier chapitre est en ligne. L'histoire est finie. L'auteure y a laissé approximativement 20 grammes de son âme. Et maintenant, on fait quoi ?

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J'ai fini.

J'arrive pas à réaliser que j'ai mis le mot fin sur ce manuscrit. J'ai fini Cernunnos et j'ai l'impression d'être complètement perchée et d'être redescendue trop vite en même temps. Niveau sensation forte, on est au niveau d'un premier tour dans le Space Mountain, le mal des transports en moins.