Quitte à écrire des horreurs, autant le faire le soir d'Halloween.

Voilà ma participation au concours 3000 visiteurs de Nienor, qui est à rendre au plus tard le 15 novembre (on est large donc). Il fallait écrire un court texte, entre 500 et 2000 mots dont le début devait obligatoirement être : « Depuis toute petite, on la réveillait tous les matins à huit heures. »

J'ai donc choisi, pour une fois, de faire un texte engagé sous forme de poème (bon, remastérisé à ma sauce, puisqu'il y a de la prose et de la rime mélangés... On appelle ça la forme libre). Le plus difficile, ça a été de faire plus de 500 mots. Parce que honnêtement, quand je me lance dans des envolées lyriques, ça tient plus du planeur que de l'avion de ligne... Et en prime, il fallait que je sois subtile. Bon, c'est raté, je crois que plus évident, ç'aurait été de sortir le drapeau arc-en-ciel.

Mais bon, je me suis fait plaisir et j'espère que vous aurez autant de plaisir à le lire.

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J'aurai galéré pour vous la montrer celle-là, je suis tombée sur tellement de fakes que j'aurais pu faire un élevage... Mais bref, le voilà ! Partly Cloudy, un adorable court-métrage produit par Pixar où l'on suit un adorable nuage incapable de créer autre chose que des bébés dangereux pour son pauvre messager, une cigogne bien mal en point. Une petite leçon sur l'amitié, la confiance, mais surtout la fidélité.

Je suis tombée sur cette vidéo en continuant dans mon élan d'égalitarisme et de civisme. C'est comme ça que j'ai regardé ce petit manuel du consentement illustré par un concept : vous voulez boire une tasse de thé avec quelqu'un, mais lui, le veut-il ?

Hey hey hey !

En me baladant sur Facebook, et plus particulièrement sur la page de Paye Ta Schnek, je suis tombée sur un article très intéressant à propos des réactions des hommes à la lecture d'un témoignage de viol. Je l'ai trouvé très intéressant dans le sens où il dresse le portrait psychologique d'un homme dans notre société en parallèle avec celui de la femme.

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Je vois d'ici vos têtes : "Non mais meuf, tu mets des photos de cerf partout et ton pseudo, ça veut dire renne : tu nous prends vraiment pour des couillons, c'est évident que t'es contre !". Et à toi, mon cher ami, je te répondrai avec délectation, que tes spéculations, tu peux te les mettre dans le f... Bref, les amateurs de poésie auront compris le message, mais pour les autres : je ne suis ni pour, ni contre, et c'est pour ça que je me suis posé cette question.

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